Edito du Secrétaire Général
"Allez plus loin sur la voix de la paix "
Porto-Novo, le 13 Mars 2014
Il fallait le dire, le répéter, l'expliquer, à tous les foras, à toutes les occasions, dans tous les discours: le dialogue ne peut qu'être national. Une position tenue par le PRD depuis l'exacerbation de la tension sociale. Même la radicalisation des postures n'avait pas empêcher le parti à soutenir qu'il ne voit se profiler qu'une seule voie de sortie d'impasse qui est le dialogue de tous les acteurs majeurs de la vie publique nationale. Un dialogue dont la responsabilité devait échoir au seul gouvernement sous l'impulsion de son chef, le président de la République à qui incombe le devoir de mettre en application les éventuelles résolutions qui en seraient issues. Pas donc de dialogue sans l'implication effective de l'ensemble des forces politiques et sociales aussi bien celles soutenant l'action du pouvoir que celles se réclamant de l'opposition.